lundi

C'est encore Noël



Pour votre cousin troufion

Ce coffret (en trois CD ou vinyles) déterre les pépites funk, soul et rock enregistrées durant les années 1970 par des soldats en poste pendant la guerre du Vietnam ou stationnés dans les bases américaines en Allemagne de l’Ouest. On connaissait déjà les fabuleux Monks, voici East of Underground,The Black Seeds et The Sound Trek, brigades de recrutement de l’U.S. Army aux armes non conventionnelles : mélancolie down tempo, chants puissamment émotionnels, psychédélisme
doux. Joli contre-emploi.

East of Underground, Hell Below
(coffret, Now-Again / Discograph) 

Article paru dans Trois Couleurs #97

J'avais découvert East of the underground en 2008 sur la mystérieuse compilation Trap Door à redécouvrir

dimanche

jeudi

Porcherie

Black Dice sort "Pigs"


Vivre et penser comme des porcs

Après le "One Pig" de Matthew Herbert


Vous êtes des animaux, arrêtez de vous reproduire.

Après "Porcherie" de Pasolini


J'ai tué mon père, j'ai mangé la chair humaine, et je tremble de joie.

Capitalisme + Christianisme = Cannibalisme

mardi

Tous les chemins mènent à Rome ou au Plaisir


Chers,

Je vous souhaite une bonne, belle et heureuse année 2012.

Dans un but d'optimisme, et pour persévérer à croire en un temps continu où dates et agendas ont encore quelque utilité, je vous donne rendez-vous chaque premier jour de chaque mois pendant neuf mois, auxquel je ferai cadeau d'une chanson (deux chansons à vrai dire, une pour les garçons et une pour les filles, ou quelque chose comme ça).

Le résultat de cette gestation égrenée au compte-goutte, sera un double album gémellaire, Matrice / Patrice, dont le top départ est ici depuis hier soir :
http://wilfried.bandcamp.com/

Les versions mises en ligne seront à peu de choses près les version définitives. Il faudra trouver des musiciens par intermittences, un label de qualité, et des concerts matriciels, pour nourrir les petits.
Toute publicité donnée à ce travail sera un bienfait.

Quoiqu'encore hibernant en attendant l'anticyclone, je vous réitère l'expression de mon amitié et de mon dévouement. Si je ne vous parle pas trop c'est que j'ai trop à vous demander. Vivement le temps de vous donner un peu.

Je vous embrasse,

Wilfried*
(qui a retrouvé sa bonne étoile)